À son habitude, Jean-Didier Urbain, qui est un “esprit libre”, va à l'encontre des idées reçues et analyse précisément les phénomènes sociologiques liés à la possession d'une résidence secondaire à la campagne. D'aucuns prétendent que l'on assisterait à un “retour à la campagne”. Soif de racines, de nature, d'intégration à la vie locale ? Nostalgie des origines, des traditions, de l'authentique ? Rien de tout cela. Statistiques, enquêtes, sondages, témoignages et observations à l'appui, il démontre que, avec l'explosion du nombre de résidences secondaires, une autre campagne voit le jour, où le citadin choisit de s'enfouir, de disparaître momentanément.

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