Le tourisme d'été en montagne constitue un sujet à la fois important, complexe et préoccupant dans la politique touristique de la France. Important, car il représente un gros volume d'affaires, supérieur à celui des sports d'hiver, et qui concerne la totalité de la zone de montagne française, soit 23 % du territoire national, alors que l'économie rurale et industrielle de cette zone traverse des difficultés. Complexe, car contrairement à l'hiver, où le produit ski est prédominant, le tourisme d'été recouvre une multitude d'activités, qui se déroulent sur des territoires ayant des caractéristiques extrêmement variées (haute montagne vierge, stations de sports d'hiver, stations thermales, milieu rural plus ou moins éloigné des stations et des villes du piémont…), de telle sorte qu'il est délicat d'imaginer des solutions communes pour le développer. Préoccupant, car les statistiques montrent une érosion continue de la fréquentation depuis plusieurs années, généralisée à tous les massifs français (à l'exception de quelques territoires).
Les professionnels de la montagne et les organismes touristiques nationaux et régionaux ont produit récemment plusieurs études sur le thème du tourisme d'été en montagne, sous l'angle de l'analyse des clientèles. Cet ouvrage en présente une synthèse, complétée par une analyse de l'offre française et étrangère, à travers un panel de sept territoires français et de trois territoires étrangers.
[Cet ouvrage est né d'un rapport de stage de l'auteur, en master professionnel d'économie du tourisme international].
Contactez Jean-François Texier par mail
Le site Marché Espaces publie 150 annonces par an de marché public depuis plus de 10 ans.
Le site Emploi Espaces est le premier site de publication d'annonces d'offres d'emploi spécialisées tourisme.
Vous souhaitez devenir auteur, publier un article dans la revue Espaces, apporter une contribution ?
Contactez Jean-Baptiste Tréboul par mail ou par
téléphone 01 43 27 55 90
En cas de difficulté, de question, n'hésitez pas à contacter Jean-Baptiste ou Hanane.